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J'ai lu


Il y a la mère, la Varienne et sa petite Luce. Au village, ils les appellent les demeurées.

Jeanne Benameur nous dit cette relation silencieuse, elle pose les mots avec une infinie pudeur. Elle nous décrit cet amour mutique entre cette mère et sa fille que rien, ni personne ne détruira. Des mots charriés dans les veines. Les sons se hissent, trébuchent, tombent derrière la lèvre.













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